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mercredi 11 juin 2014

Pensée lointaine

Pendant que tu te prélasses,
paresseusement,
au soleil dans ton jardin, baigné de fraîcheur matine des hauts, balayée par les airs chauds; courant porteur des pailles en queux majestueux et filants fiers et graciles. entourée d'odeurs aromatiques et envoûtants et aux sons chatoyants d'oiseaux se cachant ça et là aux grès des feuillages que la nature sauvage et impétueuse à bien voulue léguée.

Pendant ces moments de grâces et de quiétude ou nul ne pourra troubler le vide absolue de toute pensée négative.

Cette espace de temps où je t'ai vue sourire, celui là même où tu es toute a moi.

Je te fais cette déclaration solennelle : je t'aime.